jeudi 22 juin 2017

INFO LAPOULA POT YON BAGAY SPECIAL KIPA SOTI KI KACHE SAFE 3 JRS SE AKO KI SIYEN ENTRE PRESIDENT JOVENELE MOISE AK REPREZANTAN PRESIDENT ALLEMAGNE LA KOTE KE YO VLE KE LAGONAV KISE YON ZILE NAN PEYI D'HAITI PAP DEPAN DE PEYI D'HAITI PAP DEPAN DE HAITI ENKO ANPIL SENATE PALE ANPIL AK DEPITE KONSA GENYEN KI DAKO EN SUIV KIJAN SA TE DEROULE PANDAN RENKONT SA KITE FET MARDI PASE A NAN YON HOTEL NAN KAPITAL PEYI A

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Sens du dialogue

Candidat à la chancellerie contre Mme Merkel, M. Steinmeier aurait pu être marginalisé après ce lourd revers électoral. Il n’en sera rien.

 En tant que président du groupe SPD au Bundestag, il reste une figure centrale de la vie politique. Auprès de l’opinion, il acquiert en outre un fort capital de sympathie, en mettant sa carrière entre parenthèses pendant quelques semaines, en 2010, pour donner un rein à sa femme.

Au lendemain des législatives de 2013, après quatre années passées dans l’opposition, les sociaux-démocrates font leur retour dans le gouvernement de Mme Merkel, et M. Steinmeier, qui en rêvait, redevient ministre des affaires étrangères.

 Lors de ce second passage à la tête de la diplomatie allemande, il s’illustrera par son opiniâtreté et son sens du dialogue, que ce soit lors de la crise ukrainienne, dans le conflit syrien ou à propos du nucléaire iranien.

 Un sens du dialogue qui le conduira parfois à se voir reprocher une trop grande indulgence à l’égard de la Russie, au risque de se trouver accusé de sacrifier la défense des droits de l’homme sur l’autel de la Realpolitik.

Homme au verbe maîtrisé, au point de désespérer les journalistes en quête d’une phrase un peu forte lorsqu’ils venaient l’interviewer, M. Steinmeier était cependant sorti de sa réserve habituelle en qualifiant Donald Trump, en août 2016, de « prêcheur de haine ». A l’époque, cette sortie fut d’autant plus remarquée qu’elle contrastait avec le silence prudent de Mme Merkel, qui s’était donné pour ligne de ne pas commenter publiquement la campagne présidentielle américaine.

Quel type de président sera M. Steinmeier ? Difficile à dire : élus au suffrage indirect pour exercer une fonction essentiellement honorifique, les candidats à la magistrature suprême, en Allemagne, ne font pas campagne sur un programme. Cela ne leur interdit pas, en amont du scrutin, de délivrer quelques messages très politiques qui donnent une idée du rôle qu’ils entendent jouer à la tête de l’Etat.

Ces dernières semaines, M. Steinmeier ne s’en est pas privé. Ce fut le cas jeudi 26 janvier, vingt-quatre heures avant qu’il ne cède le portefeuille des affaires étrangères à son « camarade » du SPD Sigmar Gabriel, jusqu’alors chargé de l’économie dans le gouvernement de Mme Merkel. Ce jour-là, c’est à Paris que le futur chef de l’Etat allemand a fait son dernier déplacement en tant que ministre. Décoré de la Légion d’honneur par son homologue Jean-Marc Ayrault, il a mis en garde son auditoire .

Jovenel veut concerter

 « Si le peuple, à travers son vote, me confie la destinée du pays, je prends l’engagement d’instaurer un cadre de concertation permettant au peuple de dialoguer avec les responsables de l’État sur l’évolution des projets, sur la gestion des affaires publiques et sur le fonctionnement des institutions, a indiqué le candidat, qui rêve grand. 
La concertation avec les acteurs de la vie nationale est importante pour un dialogue fructueux avec les différentes sensibilités politiques, sociales, religieuses et économiques du pays. »

 Plus que jamais optimiste, Jovenel Moïse a encouragé les Haïtiens à préparer avec lui l’avenir du pays en se rendant aux urnes dimanche prochain. Les élections de dimanche consistent, selon lui, en un rendez-vous avec l’histoire.

 « Je vous invite à participer aux élections du 24 janvier 2016 et à voter pour moi pour devenir le prochain président de la République à qui vous confierez le destin du pays pour les 5 prochaines années », a déclaré Jovenel Moïse, qui considère le second tour des élections du 24 janvier comme un tournant décisif pour le sauvetage des institutions républicaines et pour la consolidation de la démocratie en Haïti.

 « Soyez au rendez-vous de l’histoire, la grande histoire, que nous allons écrire ensemble, a poursuivi le candidat du pouvoir. Soyez l’acteur de votre destin en joignant votre histoire personnelle à l’histoire du pays. Je vous invite à devenir des bâtisseurs des œuvres qui résistent aux caprices du temps et à l’incompréhension des hommes qui ne vivent qu’au passé », a ajouté Jovenel Moïse sur un ton rassurant.

mercredi 14 juin 2017

FLASH : Japon lance yon micil jodi mercredi 14 juin an nan zon sud kote yo deside atake USA pou yo moun trel sa yo kafe sa koz anpil blese ak replik ameriken yo kite deja etabli baz yo nan zon sud la eske sa ap anonse yon 3eme guè mondial anko pesonn poko konnen nouka we kijan micil la te lance epi kisal te produit

FLASH Michel Martelly FEK FE YON DEKLARASYON EN DIRECT SOU RADIO SCOOP FM Martelly FE YN DEKLARASYON KI BAY ANPIL PALE ANPIL KIFE ANPIL MOUN AP RELE POZE KESYON LI MEM BAY KEK EXPLIKASYON APREL FINFE DEKLARASYON AN NOU PAFE NOUVEL NOU JIS PATAGER SA PREZIDAN DI A TANDEL PATAGER OPINYONW TANKOU LOT YO FEL LA EPI YOUN RESPEKTE DWA LOT LA SVP AK OPINYONL

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HAITI DEBAT / Michel Martelly / EN DIRECT / Martelly aplodi Travay Jo...

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jeudi 8 juin 2017

FLASH SAW PATA PANSE A EBIEN SELI KI RIVE KOUYE A LA BAGAY YO GENLE CHAVIRE APRE ANPIL DISKISYON KI FINFET M PAP DIW POU PADIM TEDI PLIS KESA AL GADE KISAK TE SOTI NAN RENKONT SA KITE FET NAN RITZ KINAM HOTEL

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Après 1986, les politiciens traditionnels et la bourgeoisie Haïtiennes ont faits mains misent sur la politique et l’économie du pays. Cependant, tout allait se détériorer après l’élection de 1990 ou Jean Bertrand Aristide avait été élu le premier président élu au suffrage universel après la chute de Jean Claude Duvalier « Baby doc » et Aristide ne représentait pas l’aspiration de cette classe qui ne voulait que garder ses intérêts et privilèges. Depuis lors, on cherchait à lui faire échec. A cette époque là, Aristide qui incarnait une nouvelle vision tout en préconisant une nouvelle théorie qui était celle de la libération basée sur le partage et la participation de tous.
Toutefois, cette transition a eu lieu sans une réelle préparation d’avance. « Titid » fraichement élu a tenté de gérer l’état tel qu’il l’avait compris étant prêtre avec son manque d’expérience, avec son discours « anti blan », et j’en passe; des gens de la bourgeoisie et tous ceux  dont qui ont des intérêts en Haïti, pour garder le status quo ont commencés à comploter contre lui. Selon eux, avec Aristide au pouvoir non seulement c’était une gifle mais aussi une menace pour eux et pour leurs intérêts.
C’est ainsi qu’après sept mois au pouvoir, un coup d’état sanglant mener par le General Raoul Cédras avec la complicité d’une frange de la bourgeoisie non-progressiste et de l’internationale l’ont renversés au pouvoir; c’était le chaos total. Depuis lors,  Haïti vit une crise chronique à n’en plus finir, pourtant qui fait la joie de ce petit group qui se croyait perdre le control avec l’arrivé du « petit père » au pouvoir même quand c’était sur le sang et des cadavres.
Ils ont put se débarrasser d’Aristide en deux occasions 1990 et 2004 en tant que chef d’état par les armes et pour des raisons divers, cependant en 2004 des medias Haïtiens était presque 80% complice. Ils ont combattu l’homme à tort et à raison, mais sans un projet réel d’inclusion social,  jusqu’à ce qu’il devient un martyr et un mythe pour cette classe défavorisée qui finit pas croire en lui même quand elle ne savait pas réellement son plan de développement à l’échelle sociale et économique pour le pays.
Haïti vivait dans un marasme politique  à nulle autre pareille « zafè kabrit pa zafè mouton ». Néanmoins, avec l’ère d’Aristide une nouvelle classe sociale a eu le temps de s’émergée ou tout simplement la classe moyenne. Malheureusement, cette classe n’avait pas compris son rôle et aussi rapide qu’on ne puisse le croire, elle s’associe avec l’élite, cette élite rétrograde  qui finit par l’intégrer et les voilà tous deux travaillent pour le même but, la même cause qui n’est autre que de s’enrichir et tous les moyens sont bons pour y arriver.
Au fils des années, on a tous vu dans ce pays des choses inédites. On a vu des alliances inconcevables à condition que cette alliance garantisse l’intérêt de ces groupes quel qu’en soit la classe ou l’idéologie s’il y en a, puisque l’essentiel c’est de gérer ce qu’on a déjà tout en essayant de l’augmenter même quand c’est en détruisant l’autre, le payes, ou en égorgeant la masse défavorisée.
C’est ainsi qu’après des décennies de controverses, de division, de trahison, et de tuerie, en 2010, un tremblement de terre majeure et meurtrière a sanctionné tout le monde, et du même coup nous a forcé de reconnaitre que nous somme tous des frères et sœurs et qu’Haïti est notre mère patrie. Oui, ca été un coup dure surtout que nous passions tout le temps à s’entre déchirer entre nous au lieu de consacrer au développement ce pays et à l’épanouissement de tous. Ce séisme a mit à jour nos manque de responsabilité, de vision, et notre faiblesse en tant qu’homme.
Ainsi, on a enterré les morts, séché nos larmes, et on finit par s’en sortir timidement malgré vent et marrez. Et comme c’était prévu bien avant, l’année suivante (2011) devait être l’année des élections, l’acharnement pour le pouvoir a recommencé et Haïti encore une fois allait vécu des moments sombres, triste, troubles, et douloureux en dépit des décombres.
Après tout, le 14 mai 2011, un nouveau président Michel Joseph Martelly a prêté serment par-devant l’Assemblée Nationale pour remplacer le président sortant, René Préval qui compte parmi les rares présidents d’Haïti qui a bouclé son mandat de cinq ans, en deux occasions sans être « dechouke ». Cependant, beaucoup ont attribué cela par sa compréhension réel de nos hommes politiques qui sont amis (es) de  l’argent et le pouvoir, et surtout parce qu’il sait nager dit-on car cette océan qui s’appelle Haïti n’est pas du tout facile à traversé si quel qu’un ne sait pas nager politiquement.
C’est ainsi un nouveau président s’est investi avec tous les controverses, jalousie, haine, et méchanceté que cela a entrainé. Des problèmes  divers et surtout politiques ont vu le jour le nouveau ne pouvait avoir son Premier Ministre comme prévu par la constitution. Avec un parlement pluriel qui ne s’intéressait qu’a des petits projets et leur intérêts pour voter des lois pour la bonne marche du pays, ce parlement  n’était pas près à travailler avec le nouveau président qui veut lui aussi comme Aristide de 1991 se dissocie avec le passé, un passé qu’ils qualifient comme complice de la misère du peuple, et le nouveau président, comme il a dit, était prêt à porter du changement avec des résultats concrets. Et pour cela, il avait besoin de premier ministre.
Seulement, ne sachant pas vraiment le réel de la politique haïtienne, s’est trompé en pensant qu’il allait véritablement changer grande chose; c’est ainsi après plusieurs tentatives et de refus de ses choix de Premier Ministre, enfin, Laurent Salvador Lamothe, son bon ami, devenait Premier Ministre ratifié par le parlement, mais non pas sans difficultés.
Les deux hommes qui étaient déjà deux bon amis, se sont mis au travail et aux yeux de plus d’un ils ont commencés à donné de bon résultats même quand pour certain c’est faux. Par contre, la frange rétrograde de la bourgeoisie haïtienne n’était pas vraiment contente du changement qu’elle se voit en train de se dérouler sous leurs yeux, d’autre en plus, Laurent Lamothe voulait ouvrir le marché haïtien aux investisseurs étrangers pour une économie plus forte et plus dynamique et qui n’est pas mauvais d’ailleurs d’après pas mal de gens.
Elle voit en ce mouvement la fin d’un règne, et au lieu de se  mettre au diapason pour créer de grande entreprises question d’être plus compétitifs et pour créer des emplois, cette classe anti-changement et archaïque a préférer de comploter au renvois de Laurent S. Lamothe comme PM en concoctant comme toujours avec des politiciens traditionnels ou modérés sans oublier aussi certains medias pour créer une farce de « crise » qui finalement allait aboutir au démission de Laurent Salvador Lamothe en tant que chef du gouvernement après 31 mois de dure labeur et de progrès pour répéter les propos de l’ancien Premier Ministre lui même.
Laurent S. Lamothe a démissionné;  il était la bête noire. D’une façon ou d’une autre il devait partir parce qu’il vient d’une progéniture progressiste; il est jeune, compétent, fougueux, dure, sérieux, dynamique, ne pouvant pas être acheter ni corrompu car il est déjà millionnaire. Il vient avec des idées nouvelles incluant la technologie tout en voulant faire d’Haïti un pays émergeant d’ici 2030.
Par conséquent, la seule chose qui restait à faire c’était de l’abattre à tout pris surtout il est pressenti comme successeur de Michel Joseph Martelly l’actuel chef d’état comme président de la République. Ce serait encore un coup dure pour cette classe politique traditionnelle et de cette frange bourgeoise boutiquière.
Non seulement, il faudrait que Laurent Salvador Lamothe démissionne, ils voulaient aussi faire en quelque sorte lui éliminer politiquement sans pourtant penser qu’ils sont sur la voix de faire de lui un martyr et un mythe comme ils ont faits pour Aristide en 1991 et 2004 et qui perdure jusqu’à aujourd’hui. Ce qui prouve encore aujourd’hui qu’ils n’ont pas grandir, qu’ils n’ont pas aussi un plan de développement pour aider à sortir le pays là où il se trouve depuis des décennies. Alors, pourquoi conspirer aujourd’hui si la personne reviendra demain et encore plus forte?
Maintenant, par manque de clairvoyance politique, ils ont en train de rendre Laurent Salvador Lamothe un sacré service. Il devient plus populaire; à ce stade, quel qu’en soit le résulta du BCEN où encore du CEP, Laurent Lamothe sera le grand gagnant, tôt où tard il deviendra un jour président d’Haïti. Ils ont faits de Duvalier un méchant dictateur; ils ont faits d’Aristide un martyr et un légende; et aujourd’hui, ils sont en train de faire de Laurent S. Lamothe un « sauveur » en voulant lui empêcher par tous les moyens d’être candidat aux prochaines élections car ils sachent tous au cas contraire échéant il serait élu président. J’aurais souhaité de préférence qu’ils fassent un front commun contre lui, puis, laisse le peuple décide démocratiquement.

Men sa kap pase nan moman nap pale a la nouvel ou cho nan USA specialman nan washington FBI dekrete lapermanans